Le monde actuel est fondé sur des relations entre différents Etats, ce qui crée un ensemble de réseaux transnationaux favorisant les échanges, qu’ils soient d’ordre économique, politique, social ou culturel. La mondialisation repose sur une mobilité sans précédent des hommes, des marchandises, des services, des informations et des capitaux. Loin d’unifier la planète, le processus de mondialisation crée de nouvelles différenciations qui interviennent à toutes les échelles. En effet, celle-ci ne cesse d’etre critiquée et remise en cause. Les principales accusations sont les suivantes : la déréglementation des économies nationales, la libéralisation éxcessive et éxagérée des échanges, la toute-puissance des grandes firmes multinationales, la normalisation des rapports humains et la disparition des cultures locales et par conséquent l’émergence d’un standart culturel.

Ces différents problèmes nous amène donc à penser qu’il faut modifier l’actuelle mondialisation.

Problématisation :

Comment peut-on penser une mondialisation plus juste ?

I – Echanges commerciaux, économiques dans une mondialisation qui affecte les pays développés.

A) Commerce

Depuis la fin de la seconde guerre mondiale, certaines entreprises, afin de conquérir de nouveaux marchés, ont commencé à exporter bon nombre de leurs productions. Ces échanges se sont intensifiés, jusqu’à paraitre évident. Or, on remarque qu’aujourd’hui, les principaux échanges s’effectuent entre certains pôles : les Etats Unis, Union Européenne, et littoral asiatique ( cote est de la Chine, Japon, Taiwan… ) Cependant, certains pays rattrapent leur retard dans leur intégration à l’économie mondiale, tels que le Brésil ( exploitation forestière), la Russie ( monopôle du gaz ), l’Inde et la Chine ( principalement pour la main d’œuvre à bas coûts ). Nous pensons qu’il est donc capital de diversifier les partenaires commerciaux pour faire rentrer les pays en développement et sous développés dans l’économie