Monetarisme
Dans le domaine de l’éducation au Maroc, le nombre d’élèves scolarisés est d’environs de 6 Millions de personnes. La population a un taux d’alphabétisation de 48% en 2003, le gouvernement marocain fait des progrès pour régler ce problème. Dans la fonction publique, les enseignants représentent un nombre important des fonctionnaires marocains.
Le taux de chômage au Maroc est de 12.5% en 2003. Ce qui est énorme, et dans ces 12 % , on retrouve beaucoup de jeunes. Le SMIG (Salaire Moyen Interprofessionnel Général) est de 1826 Dhs (182,6 € - 10 Dhs = 1 €) pour un nombre de 208 heures de travail.
La croissance économique au Maroc était de 5,5% en 2003, l’économie au Maroc dépend de l’agriculture comme première ressources et le transfert des MRE (Marocains Résidents à l’Étranger). Deux autres domaines fournissent de gros revenus à la balance commerciale marocaine, en particulier le tourisme et les matières premières.
La balance commerciale marocaine connu un déficit en 2003, avec une augmentation des importations de 1,9% et une diminution des exportations de 5,3%.
La production industrielle au Maroc connaît une augmentation actuellement avec les zones franches que le gouvernement crée dans divers régions du pays. Avec ces zones, de grands groupes mondiaux s’installent au Maroc. Cette zone franche sert a amener et attirer des capitaux étrangers dans le royaume. Et les entreprises qui s’y installent embauchent des marocains mais les profits sont souvent rapatriées en Occident. L’agriculture au Maroc est un secteur stratégique pour le développement socio-économique du pays. Depuis, l’indépendance du pays, le secteur agricole a connu de nombreux programmes de développement agricole et rural et de