Je m’y étais préparé pourtant ils m’ont atterré. D’un coup, voilà ils étaient arrivés , m’ont pris par les trippes, me serra, me pesa, m’angoissa… des maux de têtes, des migraines, des insomnies, l’agitation accablaient mon esprit. Un malaise incontrôlable me rendait impuissant. J’étais dans un trou noir un néant interminable. Plus j’avançais plus ce mal s’installait. Les mots ne venaient pas pour décrire cette sensation intense d’être moins que rien, de ne jamais pouvoir réussir à atteindre mes objectifs. J’étais foudroyé. Quel était se mal qui spoliait mon cerveau ? je n’avais rien accompli durant cette année et aujourd’hui je me rendais compte que c’était une erreur. Le temps était court, il me faudrais juste quelques jours de plus ou même quelques heures . un brouillard envahit mon esprit , puis, une brise m’ éclairaira petits à petit. Une diffusion furtive d’électrons positifs se baladère et réveilla chaque atomes de chaque cellules de ma tête. Et la lumière fut ! enfin j’avais pu mettre des mots sur ses syndromes ses symptômes qui me rongeait au plus profond de moi. Cela devenait presque une folie, je mennais un combat permanant contre ces maux qui m’accablaient : l’inquiétude le doute la peur d’échouer . il me fallait juste un peu de sommeil, détruire le plus clair de mon mal en ne tombant pas dans l’éloquence des passions. Il ne fallait pas que je tombe dans le piège . je devais refuser d’y croire. Il me faudrais un profonde sagesse , je devais user de ma raison comme disaient Descartes et Spoza… je ne devais pas penser en historien , apprendre et retranscrire…non ! il me fallait de la reflexion. Ayant refusé de croire aux passions qui me tirait vers le bas , ma raison me revint et Je me disais qu’au final mon imagination me jouait des tours car avec réflexion je savait que mon examen était en poche,mes raisonnements me paressait correcte et tout ces maux avit disparu, la confiance refit surface. J’étais prêt !