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TABLE DES MATIÈRES

PRÉFACE

Même si Swisscom ne fait pas la une de tous les quotidiens nationaux, ce n’est pas pour autant que les Suisse ne prêtent pas une grande attention à leur facture de téléphone.
Fini le temps d’un téléphone fixe à la maison et de s’en contenter. Aujourd’hui avoir un téléphone portable est synonyme de plusieurs choses. Pour les plus jeunes, c’est plus qu’un effet de mode, la frénésie qui entoure le monde du téléphone portable n’a cessé de croître depuis ces dix dernières années. Les smartphones, comme nous les appelons de nos jours, se révèle être plus des gadgets de divertissement que des téléphones. Pour les adultes et les professionnels, c’est une course vers la technologie et la performance des divers services et applications qu’on peut trouver sur les téléphones de nos jours.
À l’heure de la communication et de l’information en tout temps et tout lieux, les opérateurs mobiles et fixe de n’arrêtent pas de multiplier les offres, au point de pouvoir avoir un facture pour la télévision numérique, le téléphone portable et fixe ainsi que l’internet. Les opérateurs comptent bien jouer la carte du progrès technique à fond pour voir leur bénéfice augmenter.
Mais qu’en est-il vraiment du marché Suisse de la téléphonie ?

INTRODUCTION GÉNÉRALE

Avant la privatisation du marché de la télécommunication, les états européens posséder leur propre compagnie de communication et formait ainsi un monopole sur ce marché. L’évolution technologique importante dans ce domaine impose un environnement de libre marché dans le but d’en améliorer les infrastructures et d’avoir une meilleure compétitivité. En 1998, la loi sur télécommunication (LTC) entre en vigueur. L’entreprise PTT, qui regroupe la poste et les télécommunications, qui était l’unique entreprise active dans le domaine de la communication, est dissoute et fait place à deux entreprise distinctes : La Poste