Montaigne essais, apologie de raymond sebond
Tout d’abord le philosophe expose sa problématique et le but de sa recherche personnel. Il commence son textes par: « il me faut voire », il entame donc lui même une étude personnelle et donc structurée. La problématique parait nettement: est-ce que la quête de savoir entreprise par l’homme l’aura enrichi et permis de définir une vérité solide quelle qu‘elle soit. Nous remarquerons le choix judicieux de Montaigne au niveau du lexique. Il représente cette poursuite comme menant à quelque chose de palpable, de solide. Des vérités sans égal, ayant tous les arguments et les exemple pour les considérer comme irréfutable Cette vérité solide semble être une sorte de trésor, un amas de pièce. Déjà, l’utilisation du pronom « cette » peut être contesté.
Dans un deuxième temps, après avoir exposé le but de ses recherches, il entame l’exposé de sa thèse. On remarquera en premier lieu le verbe péjoratif utilisé: « il me confessera », comme si un savant lui donnait avec humilité le vain résultat de ses