Français : Montesquieu, De l'esprit des lois.
Ce texte est constitué de dix paragraphes. Le premier est l'introduction du texte, pour le reste chaque paragraphes est un argument mis en évidence par Montesquieu.2. Je pense que Montesquieu est contre l'esclavage car dans le paratexte il est écrit "Montesquieu feint de prendre à son compte les arguments d'un partisan de l'esclavage" puis dans le texte chaque argument énoncés par Montesquieu est dit d'une façon exagéré qui le rend ridicule, par exemple "Ils ont le nez si écrasé qu'il est presque impossible de les plaindre", "Il est impossible que nous supposions que ces gens-là soient des hommes".3. Le pronom "On" utilisé tout au long du texte désigne les Européens ce qui crée un effet de généralité.4. Les deux arguments qui sont destinés à prouver que l'esclavage répondait à une nécessité économique sont :- Que les Africains sont utilisés à défricher les nombreuses terres présentes.- Que le sucre serait trop cher si les esclaves ne travaillaient pas dans les cultures.5. L'argument mis en évidence à la ligne 10 et 11 est qu'un homme noir ne peut avoir une âme bonne.6. L'argument mis en évidence de la ligne 20 à 22 est que les Nègres n'ont pas le sens de la valeur, ils portent plus d'importance à la valeur culturel qu'à la valeur économique. 7. Le ton employé par Montesquieu peut être qualifié d'ironique car il met en évidence le fait que les Européens se basent sur le physique des noirs comme argument de l'esclavage "Il est si naturel de penser que c'est la couleur qui constitue l’essence de l'humanité", puis il critique le fait que les princes d'Europe prêtent si peu d'importance à l'esclavage "Des petits esprits exagèrent trop l'injustice .. en faveur de la miséricorde et de la pitié ?". Il explique donc que l'esclavage est avant tout une question économique "Le sucre serait trop cher". Les Européens se préoccupent donc plus de l'argent que de l'humanité. De plus, « Le droit que nous avons eu de rendre les Nègres