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Question 1
La variable « montant de l’achat » a un caractère quantitatif.
La variable « nombre de tentatives de contact » a un caractère quantitatif.
La variable « période de la journée » a un caractère qualitatif.
La variable « statut de la cliente » a un caractère qualitatif.
La variable « âge de la cliente » a un caractère qualitatif.
La variable « nombre d’enfants de la cliente » a un caractère qualitatif.
Question 2
La variable « montant de l’achat » est une échelle de mesure de type échelle de rapport.
La variable « nombre de tentatives de contact » est mesurée sur une échelle ordinale.
La variable « période de la journée » est mesurée sur une échelle ordinale.
La variable « statut de la cliente » est mesurée sur une échelle nominale.
La variable « âge de la cliente » est mesurée sur une échelle ordinale.
La variable « nombre d’enfants de la cliente » est mesurée sur une échelle ordinale.
Question 3
La variable « montant de l’achat » varie considérablement au cours du temps. En effet, dans la première année, le montant moyen d’un achat est de 11,06 $ alors que dans la deuxième année, ce montant est de 13,82 $ soit une augmentation de 2,76 $. L’année trois, quant à elle, a un montant d’achat moyen de 18,93 $ soit 5,11 $ de plus que la deuxième année. L'écart type sert à mesurer la dispersion d'un ensemble de données. Plus il est faible, plus les valeurs sont regroupées autour de la moyenne. Dans la situation présente, pour la répartition achats des clientes des Venus Comestics, plus l'écart type est faible, plus la répartition des montants est homogène. À l'inverse, s’il est plus important, le montant des ventes est moins resserré. L’année 1 a le plus petit écart-type, soit 2,49, donc, les montants des ventes sont plus homogènes. Il s’agit aussi de l’année où la moyenne d’un achat est le plus basse. En ce sens, MARK-T, pourrait souligner le fait que l’écart-type entre les ventes croît au fil du temps.