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Musset, les caprices de marianne

506 mots 3 pages
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FICHE DE LECTURE

A) S’informer
Auteur : Alfred de Musset
Titre : Les caprices de Marianne
Date de publication : Première version 1833 Deuxième version 1851
Genre littéraire : Théâtre, comédie dramatique
Registre : Comique (apparente bouffonnerie de Claudio et Tibia) Tragique (mort de Coelio, admiration pour le personnage) Lyrique (thème, amour) Pathétique (Personnage victime attendrissement)
Epoque des faits rapportés : romantisme

B) Résumer
Les personnages principaux : Coelio (sujet) Hermia

Marianne (objet) Claudio (opposant)

Octave (adjuvant) Tibia (opposant)

Les centres d’intérêts essentiels : - Variation des genres et des registres. - Transgression des règles des 3 unités. - L'intérêt de la pièce réside notamment dans l'acte 2, scène 1. Nous assistons à une véritable joute verbale entre les deux personnages (Marianne et Octave). Cette scène incarne ce qu'on pourrait appeler une bataille des sexes, avec d'un côté Octave qui veut que Marianne tombe dans les bras de Coelio, et de l'autre Marianne qui complaint le sort des femmes face au libertinage. - Thème du double chez les personnages. - un texte riche et varié, qui sculpte les caractères des personnages avec précision et humour/lyrisme.

Résumé de l’intrigue :
La pièce se passe à Naples (un Naples imaginaire). Elle raconte l'histoire de Coelio, un jeune homme qui tente désespérément de conquérir Marianne, elle-même déjà mariée. N'osant l'aborder, il fait appel en premier lieu à Ciuta, une vieille femme qui accepte d'aborder la jeune Marianne pour essayer de la convaincre de parler à Coelio, tentative qui malheureusement n'aboutit pas car Marianne veut rester fidèle à son époux Claudio. Coelio, ne sachant quoi faire, et décidé à obtenir l'amour de Marianne, va faire appel à son ami Octave, un libertin, cousin de Claudio, mari de la dulcinée. Celle-ci refuse d'aimer Coelio mais tombe peu à peu

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    La scène est à Naples. Scène 1 Une rue devant la maison de Claudio. MARIANNE, sortant de chez elle un livre de messe à la main et CIUTA, l’abordant. CIUTA — Ma belle dame, puis-je vous dire un mot ?….

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  • Alfred de musset - les caprices de marianne - 1833 - 1833
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    Tibia est terre à terre et ne voit pas comment les soupçons de son maitre pourraient être vrais. 13) Il essaie de ramener son maître à la raison en comparant l’infidélité de Marianne à sa propre débauche qui est impossible Transition Mais cette comparaison est détournée par Claudio dans son délire. ALFRED DE MUSSET – LES CAPRICES DE MARIANNE – 1833 ACTE 1 – SCENE 1 2ième mouvement S’ensuit un échange qui n’a pas de fil conducteur Première analyse 1) L’échange subit deux digressions.….

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  • Les caprices de marianne
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  • Dm fous en scène
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    Dans un tout autre registre, mais toujours dans le même contexte, on retrouve le personnage Coelio de Corneille qui est lui aussi fou amoureux de Marianne et qu'elle, aussi, ne partage pas ses sentiments. Qu'importe si Marianne est mariée à Claudio, Coelio ne freine pas pour autant ses ardeurs et espére les faveurs de sa belle. On retrouve encore un triangle amoureux, mais cette fois-ci la situation relève du registre comique. Rajouter à cela,….

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  • commentaire sur les Caprices de Marianne acte I scène 1
    1308 mots | 6 pages

    Notre commentaire porte sur les pages 25 à 27 de la scène 1 de l’acte I de la pièce les « caprices de Marianne » écrite par Alfred de Musset en 1833. Alfred de Musset est un auteur romantique qui a écrit de nombreux livres et pièces de théâtres et a connu un grand succès de 1833 à 1838. Cette première moitié du dix-neuvième siècle voit naitre le dandysme, mouvement culturel d’une jeunesse urbaine désœuvrée et c’est de cette jeunesse désabusée qui joue avec les sentiments qu’Alfred de Musset se fait l’écho. L’extrait que nous allons étudier porte sur Octave et Coelio, deux personnages aux caractères opposés. Nous pouvons donc nous demander en quoi ces caractères sont- ils différents mais complémentaires.….

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  • caprice de marianne
    343 mots | 2 pages

    Mais même après la mort de son ami , devant sa tombe , Octave rejete Marianne , qui lui avoue ses sentiments , par respect pour Coelio je pense . « Je ne vous aimes pas Marianne ; c'était Coelio qui vous aimait . » page 92 Acte II , scène 6 , ce qui fait de lui un homme honnête pour avoir rejeté Marianne même après la mort de Coelio , un héros pour avoir essayer de sauvé celui-ci , et un véritable ami pour avoir tous fait pour rapprocher Marianne de Coelio .….

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  • Caprices e marianne
    278 mots | 2 pages

    Les caprices de marianne résumé de l’œuvre : Coelio rêve de conquérir Marianne mais n'ose pas le dire dire alors ciuta le déclare pour lui mais,est repoussé .Coelio fait alors appel à son ami Octave, Marianne continue de refuser ses avances mais tombe amoureuse d'Octave et lui propose d'etre son amant et lui donne un rendez-vous mais par loyauter il envoie Cœlio . Claudio, l'époux de Marianne soupçonne sa femme d'adultère.….

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  • Analyse "caprices de marianne", acte ii, scène 1
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    C’est en 1830, qu’il crée « Théâtre dans un fauteuil », ce sont des pièces écrites pour la lecture et non pour être jouées. Musset a écrit Les caprices de Marianne, en 1833 en Italie lors d’un séjour avec George Sand, sa compagne de l’époque. Les caprices de Marianne se déroulent à Naples et mêlent amour et désillusion. Dans cet échange entre Octave et Marianne, on apprend que Coelio qui était éperdument amoureux de la jeune femme change d’avis.….

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  • Commentaire de texte les caprices de marianne
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    Commentaire de texte n°1 : Introduction : Les Caprices de Marianne est une œuvre publiée en 1833 par Alfred de Musset qui a alors 23 ans. C’est une pièce qui appartient au courant du romantisme. Elle ne sera jouée qu’en 1851 et connaîtra un grand succès. Construite sur l’intrigue d’un amour à sens unique, elle met en scène trois protagonistes : Marianne, Coelio et Octave.….

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  • Francais
    1089 mots | 5 pages

    Entre trahison - Sent qu’il nuit à Coelio - se devalorise - traite Marianne comme une divinité - se soumet à Marianne - propos ambigu « une prière qui puisse rendre ce dont mon cœur est plein » 2 ) Et amitié - utilise le registre lyrique bien qu’il soit un libertin opposé à l’idée de l’amour - essaye de mettre Coelio et Marianne sur un meme plan en montrant qu’ils sont pareil il fait leurs éloges - repetition du nom de Coelio -submergé par l’emotion quand il apprend que Marianne veut connaitre Coelio. -utilisation du champs lexical du desespoir et de la mort, qui nous inspire une fin dramatique….

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  • hehfcud
    366 mots | 2 pages

    Pièce qualifiée de comédie mais proche du genre dramatique. Parlons maintenant de l’histoire de cette œuvre qui comporte neuf personnages. Le récit se situe à Naples. Marianne personnage est une jeune femme mariée très jeune à un juge plus âgé qu’elle, Claudio. Un jeune homme du nom de Coelio est éperdument amoureux de celle-ci et va tenter de la conquérir, tout d’abord par le biais de Cuita mais qui ne va mener à rien.….

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  • Commentaire des caprices de marianne, scène 6 acte ii
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    Commentaire Les Caprices de Marianne, scène 6 Acte II Alfred de Musse écrit les Caprices de Marianne en 1833, mettant en scène un triangle amoureux entre Coelio, jeune aristocrate, Marianne, épouse d’un magistrat de la ville et Octave, ami de Coelio. Durant la scène 6 de l’acte II, qui est la dernière du drame, Marianne et Octave se retrouve dans un cimetière, quelques jours après la mort de Coelio, auprès d’un tombeau. En quoi ce dénouement est-il tragique ? Nous verrons d'abord comment le dialogue entre les deux personnages les oppose, puis la place de la mort dans cette scène et ses conséquences.….

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    Genre : Roman à la première personne. Texte : L’Histoire du chevalier Des Grieux et de Manon Lescaut (Septième tome des Mémoires et aventures d’un homme de qualité) est publiée pour la première fois en 1731. Une version corrigée et augmentée paraît en 1753. Pb : Comment le narrateur montre t-il la fatalité de leur passion amoureuse ?….

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  • La vie de marianne
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    e Le grand succès de la Vie de Marianne doit être attribué en partie à la conformité parfaite entre l’auteur, son siècle, ses personnages et ses lecteurs. Il était difficile de porter, dans la Vie de Marianne, plus haut que Marivaux la sagacité qui devine, et parfois l’éloquence qui touche. Uniquement appliqué à serrer de près la vérité de son sujet, l’auteur décrit son sujet avec une abondance de détails. Il est, dans les méandres interminables de ce long récit, à l’aise au milieu de ces innombrables incidents qui semblent n’avoir rien coûté à son imagination, tant ils se rattachent étroitement à l’action dont ils augmentent l’intérêt, en retardant le dénouement. Là, plus rien ne l’arrête ; sa plume court et s’égare librement comme sa pensée, pour peindre avec des couleurs vraies des caractères qui ne ressemblent pas seulement à tel ou tel individu, mais à l’individu en général, et surtout, à l’homme de son temps et de son environnement.….

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