Mémoire hygiène
| | V. Les échanges et la coopération internationale dans le domaine de la sécurité sanitaire des aliments | Le gouvernement chinois fait grand cas du développement des relations de coopération amicale dans le domaine de la sécurité sanitaire des aliments avec d'autres pays ou régions, ainsi que des organisations internationales en charge. Il s'inspire de leurs expériences de gestion et de leurs techniques avancées pour améliorer globalement la qualité des aliments en Chine.1. Renforcer les échanges et la coopération techniqueEn créant des conditions favorables, la Chine encourage et soutient la participation de ses experts techniques à toutes sortes de formations, de séminaires, d'échanges et d'analyses, et inversement, les experts étrangers sont toujours les bienvenus en Chine pour effectuer des visites, des études ou des formations. En prenant part aux activités organisées par l'OMS (Organisation mondiale de la Santé), la Chine a entrepris depuis 2001 une série de formations et d'échanges techniques concernant la sécurité sanitaire des aliments et l'accord SPS (accord sur l'application des mesures sanitaires et phytosanitaires) avec les Etats-Unis, l'Union européenne, l'Italie, le Canada, l'Allemagne, le Royaume-Uni, la Suisse, le Danemark, l'Australie, la Nouvelle-Zélande, la Thaïlande, etc. En août 2006, la Chine a organisé pour les experts représentants de 14 pays du Sud Pacifique une formation sur la sécurité sanitaire des aliments. Par ailleurs, afin de s'informer le plus vite possible des exigences législatives des autres pays concernant les aliments, et de garantir la sécurité sanitaire des aliments destinés à l'exportation, la Chine a fait traduire en chinois les règlements sur les aliments des autres pays ou régions, tels que les Etats-Unis, l'Union européenne, la Russie, la République de Corée, et elle a successivement invité des experts des Etats-Unis, de l'Union européenne et du Japon à venir en Chine pour donner