Les méthodes de procréations assistées sont de plus en plus présentes dans la vie des couples infertiles toutefois, une problématique existe. Certaines personnes affirmeront que la gestation pour autrui ne doit pas être légalisée et d’autres diront que cela en vaut la peine. Alors, faut-il légaliser cette méthode de procréation? Dans ce texte, j’analyserai une série d’arguments pour et contre venant de sources diverses et je prendrai par la suite position face à cette question.

Avant d’avoir mené une série de recherche sur le sujet, je soutenais la légalisation de la gestation pour autrui. Ma thèse était défendue à l’aide de deux arguments spontanés. Le premier de ceux-ci stipulait que nous ne pouvons pas empêcher un couple d’avoir des enfants de quelconque manière. Le second énonce le fait que les autres alternatives, comme l’adoption, comportent beaucoup trop de risque au niveau du résultat obtenu.

Avant d’aller plus loin, je vais définir les deux concepts suivants. Selon le site internet www.larousse.fr, le terme légaliser signifie : > Dans le cas de l’énoncé gestation pour autrui, il est défini par le site internet www.wikipedia.ca comme étant >

Tout d’abord, certains individus considèrent que la gestation pour autrui est une assistance qui ne devrait pas être légalisée. En effet, selon l’article de Denise Bombardier Porter un enfant (Le Devoir 21 mars 2009), > Celle-ci affirme que les enfants, procréés dans de telles circonstances, représentent de simple bien matériel que nous pouvons vendre au plus offrant. De plus, elle s’exprime sur le fait que ses situations sont beaucoup trop folles pour les enfants au niveau de leur état mental et psychique. Finalement, selon un texte apparu sur le site internet www.rue89.com, la gestation pour autrui est contraire à la dignité humaine.

Ensuite, d’autres diront qu’il est nécessaire de légaliser cette pratique. Selon le site internet www.rue89.com > De plus ceux-ci affirment que cette pratique