Nan goldin – the ballad of sexual dependency
Nan Goldin présente à travers ce slide Show de 45 minutes des événements et amis qui on fait partie de sa vie. C’est donc une œuvre très personnelle, car on rentre dans une très forte intimité.
Son travail nous est présenté à l’aide de plusieurs projecteurs de diapositives, je trouve que la mise en place de ce dispositif colle bien avec l’ambiance générale des photographies (bruit entre chaque dispositif et décalage entre les diapositives).
La projection des photos est divisée plus par thème que par période.
On commence par une ambiance assez légère, gaie, pour terminer par quelque chose de sombre.
Les différents thèmes, pas forcement classés chronologiquement, doivent être,: les femmes, les hommes, les couples, les mariages, les enfants, la drogue et pour finir, la mort de certains de ses amis…
La musique change avec chaque thème et est à chaque fois en adéquation avec celui-ci, ce qui nous permet de rentrer dans son monde souvent très glauque.
Les photos sont souvent dure et gênante car Nan Goldin nous montre la dure réalité de sa vie, sans tabou, ni barrière entre elle et ses « models ».
Elle doit prendre son appareil pour ses yeux et ses photos pour sa mémoire. Tout ce qu’elle voit, elle le photographie, sans pudeur.
Elle nous montre a travers ses photos la dure réalité du monde dans lequel elle vie, un peu en marge de la société, et on n’a pas envi d’y être. Nan Goldin rentre dans les détails, un peu comme un si elle faisait un reportage, un témoignage. On y voit les bleus sur les corps de ses amis, les seringues etc. On est amené a ce demandé quelle était la relation qu’elle avait avec tout ses gens pour qu’elle puisse entrer autant dans leurs intimité sans barrages.
C’est ce que l’on ressent à travers ses photos, il n’y a aucun barrages aucunes limites, tout est permis, il y a une liberté et aucun tabou.
Nan Goldin prend en photos ses amis nus ou en train de faire l’amour, au même