Nana zola

826 mots 4 pages
Le Phédon est une œuvre écrite par Platon qui raconte la mort de Socrate. On y apprend que Socrate a été condamné à boire son poison létal.
Le dialogue se tient le dernier jour de Socrate. Il est la suite directe de l’Apologie de Socrate et du Criton. Quelques amis ont été autorisés à rendre visite à Socrate dans sa cellule avant qu'il n'avale le poison, suite à sa condamnation à mort. Une discussion s'engage alors sur la mort, et l'attitude qu'il convient d'adopter face à celle-ci, puis sur la possibilité de la survie de l'âme dans l'au-delà. Le dialogue se termine par un mythe eschatologique sur le jugement des âmes après la mort.
Pour Socrate la mort n’est rien qu’une continuité de l’âme en-dehors du corps. Il montre une importante fermeté et noblesse en quittant la vie puisque être vivant c’est accepter la mort plutôt que d’en faire une tragédie. L’extrait étudié est l’objet d’un dialogue entre Socrate et Cébès sur les contraires, Cébès subissant les interrogations du condamné sur les thèmes de la mort, de l’âme et de l’immortalité de cette dernière. Ils en viennent à la conclusion, après de discours réflexif, à l’immortalité évidente de l’âme, en fonction de ses propriétés à rejeter la mort et à donner la vie au corps. Socrate lui-même interroge Cébès « donc, une âme, quelque soit la chose dont elle s’empare, vient toujours vers elle en lui apportant la vie ? » ce à quoi ce dernier répond « oui, quand elle vient ».
De plus, une réflexion sur la propriété de la mort face à l’âme est évoquée en mentionnant le « contraire de vie » par Socrate. Mais que pensons-nous de la mort ? Le corps est séparé de l'âme, âme qui n'est plus qu'elle-même. C’est pourquoi le philosophe plein de sagesse reconnaît la grandeur de l’âme au dépit de la corruption du corps. Une prise de conscience est alors observée, la vie n’est pas que le tenant et l’aboutissant du vécu tout ce qui vit doit mourir. Nous réalisons alors que cette mort vécue par Socrate n’est qu’un passage du

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