Narnia très mauvais pas faire confiace

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Dans la série les chroniques de Narnia, C.S. Lewis introduit son idée de ce qu’est un bon disciple. Selon lui, la foi, le courage et la loyauté sont d’une grande importance. Dans les romans, on voit qu’il est essentiel de croire en Narnia et avoir foi en Aslan. De plus, il faut y rester fidèle, ce qu’Edmund met en jeu dans le deuxième tome comme mentionné précédemment. Cela nous mène à une autre qualité que devrait posséder un bon disciple, soit le pardon. Aslan padonne Edmund à la suite de cette trahison, on voit alors cette valeur réapparaitre plusieurs fois au fil de l’histoire. En lien avec le pardon, il y a la générosité, celle d’Aslan à pardonner, puis la volonté des gens croyants à aider ceux dans le besoin. Il ne faut non plus omettre de mentionner l’altruisme, le partage, la nature, le compromis, l’amour, la bienveillance et l’opinion, tous valorisés au cours de la série. Ce qui est définit une force du mal, est surtout l’égocentrisme que les non croyants, traitre d’Aslan ou de Narnia possède. Par exemple, les motivations d’Edmund lors de sa trahison étaient personnelles. Ensuite, d’autres aspects qui définissent un mauvais disciple sont évidemment la cruauté et la méchanceté. D’ailleurs, on souligne l’appât du gain et du pouvoir personnel comme une vision négative décrivant un mauvais disciple. Avec ces points apportés par C.S. Lewis, on peut voir un parallèle indéniable avec le christianisme qui prône des aspects similaires. Pour cette raison, beaucoup de gens croient que cette série littéraire et ces films sont un moyen de propagande favorisant le christianisme.

En ce qui concerne le directeur des deux premiers films de Narnia, Andrew Andamson, celui-ci affirme toujours avoir pensé que l’histoire présentait l’épreuve de quatre jeunes devant quitter leur maison pour se réfugier en sécurité à la campagne. Le monde de Narnia était donc selon lui, présent pour les aider. Aslan selon lui n’était pas leur sauveteur mais un guide, ce qui détourne un peu

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