mais je m'échine depuis octobre et pourquoi donc depuis début octobre même et qui m'aime me suive depuis octobre depuis ce même dernier octobre le trois du mois je crois depuis ce temps-là depuis trois mois depuis trois mois et une semaine je m'échine ailleurs et le très long texte n'a pas avancé d'un poil pas beaucoup sans doute est-ce mon côté velléitaire qui ne cesse de me jouer des tours et les méandres du très long texte se sont figés comme une gelée le long des parois d'un bocal de verre et je vitupère contre mes essais éphémères mon tempérament affreusement velléitaire et ce teint d'albâtre qui n'est pas le mien comme je voudrais qu'il fût d'albâtre ou d'ébène ou autrement même sans métaphore mais au moins qu'il ait quelque tenue que mon visage sans retenue puisse soudain passer pour un tissu une pierre un songe soit en quelque sorte un tableau fasse tableau mais ce n'est pas le cas même ce mot albâtre jeté au visage jeté tout à trac sur la page en haut de page ce mot me défigure ne me figure pas ne me représente pas ne figure rien de ce que je suis de ce que je pense être et je suis encore et toujours circonspect dans le doute et ce mot n'apporte rien aucune réponse et donc toujours je me jette à la figure ces accusations comme de la mer sous le clair de lune m'a enfanté d'un enfant licorne qui ne désirait qu'une lampe de chevet sous sa chevelure saillante 1) Pourquoi utiliser la métaphore de la lumière ? Que signifie-t-elle ?

La lumière a pour rôle d'éclairer. Elle peut aussi tenir le rôle de la "vie" (lumière divine, lumière du jour). Utiliser la métaphore de la lumière permet d'imprimer les esprits d'un seul trait, en l'associant à la raison et à l'intelligence (éclairer une pièce, un esprit), au progrès (rendre plus beau), à la vie et au futur.

2) A quel concept, filant la métaphore de la lumière, s'opposent les Lumières ?

Les Lumières s'opposent à l'obscurantisme (période sombre, souvent associée à tort au Moyen Age, qui marque un temps où les