Nikolsk - introduction d'une dissertation sur la postmodernité
L’idéologie derrière la postmodernité suggère que la société avance de façon aveugle. En effet, la destruction des classes sociales a laissé la (notre) société se propulser dans tous les sens. Fini le nationalisme, les sous-groupes sociaux cherchent (maintenant) à se distinguer (s’affirmer). De plus, les croyances la postmodernité incite à croire (transmet l’idée) que la société n’avance pas vers un but précis ou un avenir meilleur, que l’univers (qu’elle) est sans but et que la société (qu’elle) doit vivre (incontestablement s’ancrer) dans le présent. Nikolski, écrit par Nicolas Dickner et publié chez Alto en 2005, véhicule justement les thèmes courants du postmodernisme : la solitude urbaine, le métissage des cultures, les nouveaux modèles familiaux et la difficulté des rapports homme/femme. Tout au long de l’histoire (de ce roman) les personnages inventés par Dickner sont à la poursuite de leur identité et de leurs origines. Dans les paragraphes qui vont suivre, nous tenterons de démontrer comment cette quête d’identité se manifeste chez les deux personnages principaux. Nous verrons que la quête de Joyce est de retrouver ses origines en devenant pirate informatique, tandis que celle de Noah est de prendre sa vie en main, en d’autres mots, de vivre comme un adulte indépendant.
Exemple d’un sujet amené convaincant
Au Québec, la postmodernité est apparu dans les années soixante en réaction à l’échec du modernisme à tenir ses promesses d’universalisme humanitaire. Elle (Cette idéologie) ne se concentre pas sur le futur (progrès) et les plans (exploits) individuels, plutôt elle recycle ce qui existe déjà, elle remet au goût du jour d’anciennes modes et mélange les styles et les cultures. Dans Nikolski, le roman de Nicolas Dickner publié chez Alto en 2005, on peut toucher (reconnaître, entre autres,) l’influence de la postmodernité dans la façon dont l’histoire est présenté : chassé-croisé du destin des trois personnages