nikolski
Premièrement, Joyce véhicule bien ce thème car elle nous démontre à plusieurs reprises qu’elle n’a pratiquement pas de racine et qu’à un moment elles les a même fuient. Joyce avait en partie comme racine son grand-père, ses oncles, ses tentes et cousins. Son grand-père est décédé et puis elle est partie de ses oncles tentes et cousins en allant à la polyvalente. Cela l’a rendu heureuse mais elle dû aller vivre chez une tente et un autre de ses oncles, ce qui la rendu moins heureuse. Après cinq ans, elle décida de les fuir et un matin très tôt, elle décida de partir à Montréal. >p.77 En faisant cela, elle décida de fuir tout ce qui se rattachais a elle et qui pouvais être considéré comme ses racines. De plus, rien ne semblait vraiment la retenir quand elle décida de partir de Montréal vers la fin du roman.
Deuxièmement, on apprend aussi que Noah vit lui aussi une absence de racines. Puisqu’au début du livre il est avec sa mère dans leur maison roulante qui sont pas mal la plus part des choses qui se rattachent à lui. Par contre, il décide lui aussi de les fuirent pour aller à Montréal. Il décida d’aller étudier et d’arrêter de voyager n’importe où. p.50. Noah venait de fuir tout ce qui lui restait à part son sac à dos et quelques objets. De plus, il se crée en quelque sorte de nouvelles racines pendant qu’il est à Montréal mais une fois de plus il décide de les fuir. Il partit très rapidement pour le Venezuela ce qui nous laisse croire qu’il n’était pratiquement pas vraiment rattaché à ceux-ci. p210. >p210. Cela nous prouve que s’il avait réellement eu des racines, il serait parti moins rapidement les deux fois. Il ne sait pas