On détient bon nombre d’information sur l’environnement, ainsi que sur le macroenvironnement dans lequel œuvre Nissan. Nous mettrons en relief quelques menaces et opportunités issus de certaines de ses dimensions afin de cibler sur lesquelles Nissan pourrait capitaliser et lesquelles devrons être prévenues :
Les enjeux les plus importants à l’heure actuelle qui pourraient aider Nissan à orienter ses décisions stratégiques reposent dans les sphères écologique et politique. Avec la sortie de sa Leaf, Nissan a su capitaliser sur la conscientisation environnementale qui semble prendre de plus en plus d’ampleur dans les habitudes de consommation des pays industrialisés. Des enjeux politiques d’une plus grande ampleur sont au cœur des préoccupations de notre monde économique moderne. La dépendance qu’ont développée les pays industrialisés envers les dynasties exportatrices de pétrole est menacée. Le prix de l’essence ne cesse d’augmenter et nous frôlons les dessus du 1,20$ le litre sur une base régulière. Les industries automobiles pourraient saisir cette opportunité comme un tremplin vers leur lancement dans la commercialisation des voitures hybrides et électriques pour ainsi offrir, en plus d’un choix écologique, une solution plus économique à leur clientèle (alors que charger une batterie coûterait en deçà du dollar au Québec). Les consommateurs seront incités à adopter des modèles moins énergivores. L’instabilité politique des pays du Moyen-Orient pourrait en effrayer plus d’un, d’emblée au courant des dernières semaines. Pour créer un pont entre les considérations environnementales et le cadre politico-légal dans le domaine automobile, les gouvernements nord-américains ont mis sur pied des programmes de subvention afin d’inciter les acheteurs à opter plus « vert ». À l’aide de cette opportunité de nature politique, nous rendons les voitures hybrides et électriques plus accessibles, disponibles et abordables sur un marché de masse, du moins aux États-Unis où Obama