C’est par ma mère que j’avais rencontré un homme dénué de tous charme qui mal allaise je perçais à jour s quelques semaines plus tard. Je décelais dans ses manières d’entreprendre les choses une légère crainte de na pas être à la hauteur ce qui d’ailleurs jouer en sa défaveur car bourré de talent ne savait se mettre en valeur. N’affichent aucun style vestimentaire propre à sa personnalité, je jugeais qu’il ne voulait s’exhiber. Il avait une frimousse hors du commun, une mine gaie, de sublimes yeux rieurs cependant il avait un sourire effacer. Plus je le côtoyais plus je l’appréciais. Je l’observais aider des personnes dans le besoin parfois même à son détriment, se qui m’attendrissais beaucoup. A moi il m’apporta un soutien moral qui me prodigua d’avantage de confiance en moi se qui m’avais permis d’atteindre certains objectif convoiter. Il m’avait aussi transmis une façon différente de percevoir se qui nous entoure ce que la plus part des individus ne devine jamais. Il voyait les autres comme personne. Et sans m’en rendre compte il m’avait pris sous son aile. Il m’apprit à ne pas juger les gents sans les connaître, à apprécier une personne pour se qu’elle est et non pas sur se qu’elle semble être. Il disait souvent qu’ « il y a autant de générosité à recevoir qu’à donner ». Sa citation préférée de Julien Green. Il estimait que certaines ne savais utiliser leurs temps car elles étayent trop soucieuses de leurs petite personne. Plus tard, je découvris qu’il faisait tous sa en la mémoire de sa dé feinte femme qui était d’une générosité sans