Le rapport de stage

Janvier 2008

La structure globale du rapport de stage présentée dans ce document est une suggestion. Avant d'utiliser ce modèle, l'étudiant doit valider avec son professeur-conseiller le choix du contenu du rapport de stage.

La structure globale du rapport de stage présentée dans ce document est une suggestion. Avant d'utiliser ce modèle, l'étudiant doit valider avec son professeur-conseiller le choix du contenu du rapport de stage.

LE RAPPORT DE STAGE Voici, à titre de suggestion, la structure globale d’un rapport de stage. Ce canevas général pourra être adapté pour faire place à l’imprévu, toujours présent lorsqu’il s’agit de stages effectués par des étudiants de l’option internationale. Ces imprévus constituant des exceptions, l’économie générale de la présente structure devra être respectée en règle générale. Un rapport de stage n’est ni un journal de bord, ni une description commentée de ce qui aura été accompli durant le stage. Il s’agit d’un travail de niveau de maîtrise qui permettra de vérifier, sur le terrain, des hypothèses, et de dégager des conclusions générales en vue d’une pratique future. Le stage constitue une démarche majeure dans la formation poursuivie à l’ENAP, et le rapport de stage doit éloquemment en témoigner. Deux impératifs : 1. Le stagiaire doit présenter un document écrit dans une langue soutenue, ce qui exclut tout jargon hermétique et l’usage abusif d’acronymes. Il doit faire l’objet d’une révision linguistique sérieuse avant d’être présenté au professeur responsable du stage. 2. Le rapport doit viser la concision : ce n’est pas un mémoire de maîtrise. En règle générale, un tel travail ne devrait pas faire plus de 40 pages, hors tout. La nature du stage peut toutefois exceptionnellement justifier la présentation d’un rapport plus long. C’est notamment le cas lorsque le mandat prévoit la production de documents ou d’études. De tels documents doivent être portés en annexe du rapport pour en faciliter la