Note sur l'incipit du rouge et le noir de stendal
Stendhal a écrit des romans surtout réaliste.
Il a définit les romans réaliste : « le roman c’est un miroir que l’on promène le long du chemin ». Ce qui veut dire que les romans reflètent la réalité.
Etude du Texte
C’est un texte descriptif, la description de verrière. Le lieu est décrit de façon précise (on peut trouver des détails dans le texte). Le lieu est décrit en utilisant un zoom, en effet la description est de plus en plus précise. Le premier paragraphe est la pour préciser la localisation géographique. On voit des mots comme « franche comté », « doubs », « jura ». Précision sur le relief « jura ». Précision sur la végétation, sur l’architecture ou encore sur les habitations. Précisions sur le relief « les cimes brisés ». Précision sur l’activité de la ville. Sur les activités commerciales de la ville. « L’aisance générale »
Notions de classe sociale avec les notables et les paysans d’un coté et les bourgeois de l’autre. La ville de verrière est tout le temps qualifiée de petite « petite ville de verrière ». Qualificatif jolie ligne 1 qui montre que c’est une ville idyllique.
Le troisième paragraphe lui est utilisé pour parler de la fabrique de clou.
On est passé d’un paysage extérieur à une activité qui se passe a l’intérieur d’un entreprise. Toute cette prospérité est cette forme d’idylle est contredit par des mots violents « lourds » « retombe en faisant trembler le paver ». Répétition dans l’apparence dans la description. Champ lexicale du vacarme qui produit une sorte d’agression. On ne mentionne jamais les individus derrière les machines mais les machines elle-même doutent sur les biens être des habitants.
C’est un roman typiquement réaliste car il s’intéresse aux classes sociales
On voit des verbes de mouvement qui se substitue au verbe de mouvement ce qui donne une impression de mouvement « le Doubs coule », « donne le mouvement ». La ville est décrite à la manière d’un voyageur qui la découvrirait