Notes sur George Boulanger
Patrice de Mac-Mahon (monarchiste résolu).
La présidence de Jules Grévy se signale quant à elle par l'affirmation sans ambiguïté du caractère républicain du régime. On adopte la Marseillaise comme hymne national, 14 juillet fête nationale et l'on accorde une amnistie aux révoltés de la Commune. Sous les ordes de ses ministres on impose l’enseignement laïque pour la premiere fois.
Lors du scandale des décorations, en novembre 1887, on découvre que le beau-fils du président était en train d’accepter des dons financiers et de donner à son journal des informations sécrètes. Le président Jules Grévy, par la suite, est poussé à démissionner, de par l’opinion publique influencée par la critique faite dans les journaux de l’opposition politique, tel que celui de Henri Rochefort, et du général Boulanger, qui était alors en pleine ascension politique. http://www.globalsecurity.org/military/world/europe/fr-third-republic-4.htm
L’instabilité du régime politique en france à l’epoque est representée de par le fait que, suite à la resignation du président Macmahon, il y a eu 14 présidents en l’espace de 10 ans.
L’opinion publique commencait alors à devenir fatigué du changement constant, à penser que ce n’était jamais les meilleurs hommes politique qui étaient choisis pour exercer la fonction de président, et à mépriser les hommes politiques en général.
A ce moment, le général Boulanger était le protégé de Georges Clemenceau. Il promit des reformes sociales, et le peuple avait confiance en lui; lorsqu’il était ministre de la guerre en
1886-1887, il a passé de nombreuses réformes; amélioriation des rations des soldat, et de leur condition de vie, parmi d’autres. Il était populaire, de par ces