Psychologue clinicien au sein d’un service de psychiatrie adulte.

Introduction
Il y a plusieurs types de psychologues car la complexité des situations psychologiques s’opposent à l’application automatique de règles. Si chaque psychologue est libre et responsable de ses choix (méthodologiques ou théoriques), la démarche du psychologue clinicien obéit à une logique, elle se situe à la frontière de l’art et de la science. Elle doit pouvoir être expliquée car cohérente, réfléchit et rigoureuse. Au-delà des pratiques variées, des lieux d’exercices divers, des publics multiples, des formations et des sensibilités personnelles diverses, les psychologues se reconnaissent dans une démarche commune liée à un objectif commun : « le psychologue respecte et œuvre à la promotion des droits fondamentaux des personnes, de leur liberté, de leur dignité, de la préservation de leur intimité, et de leur autonomie, de leur bien-être psychologique. »
IME : Accueil d’adolescents et d’enfants présentant une carence intellectuelle, un degré de déficience.
I) Déontologie et éthique 1) Les fondements de la profession
Les psychologues ont en commun de grands principes humanistes par exemple de penser que le changement et l’évolution est possible et tout représente plus que la somme de ses parties c’est-à-dire un sujet n’est pas réductible, on ne peut jamais le réduire ni à son comportement, ni à un diagnostic, ni même à sa personnalité, ni à son histoire. Un objectif commun : faire reconnaitre et respecter la personne dans sa dimension psychique, car ceci est un droit inaliénable, la reconnaissance de ce droit fonde l’action des psychologues. Le dénominateur commun est l’humain dans sa singularité et la spécificité du métier de psychologue est un engagement profond où toute notre histoire et toute notre personne sont impliquées. Le travail auprès de sujets humains indiquent une complexité, une imprévisibilité, donc la prudence est indispensable car nos actes ont des conséquences qu’il