Vendredi 21 Février 2014
Expression Ecrite
Note :
Observation :

Je m’appelle Ingrid JENSEN, j’ai 26 ans et je suis journaliste .Je vis dans un petit village un peu coupé du monde ou les mots d’ordre ne sont ni justice, ni égalité ou autres mais argent, nom et réputation car oui il suffisait de graisser quelque patte pour être tranquille ici .Mais mon métier est de relater la vérité donc je me battrais pour qu’au moins l’unique journal de cette bourgade reste intègre.
Un jour lorsque alors que j’allais faire les courses mon patron me téléphona ; ce qui ne présageais rien de bon :
« -allo, Ingrid Jensen j’écoute - Ingrid, c’est M. Norrena, j’ai un problème avec vos récent articles pourriez-vous venir le plus vite possible ? -Oui tout de suite. »
Que me veut-il encore, même pas un s’il vous plait alors que je ne suis pas censé travailler aujourd’hui. A cause de lui je suis obligé d’aller au travail et une fois sur place je suis persuadé qu’il va en profiter pour me faire rester jusqu’à la fin de la journée.
Sur mon chemin je décidai de passer par le parc se sera plus court .Ce merveilleux parc ou petite je passais la plus grande partie de mon temps à l’époque ou mes parents étaient encore en vie. Non, non et non ce n’était pas le moment de penser a de telle choses. A l’instant où je passai les grilles de ce jardin j’eu un mauvais pressentiment, une boule au ventre, pourquoi ?je n’arrive plus à respirer, il y une présence comme écrasante, tout près, je me sentais observé j’avais l’impression qu’il faisait de plus en plus froid, mes paupières sont lourdes, j’allais m’évanouir ce fut à ce moment qu’un homme me rattrapa. :
« -Mademoiselle, mademoiselle Vous m’entendez ? Comment vous sentez vous ? - ça va, je vais bien. »
Il me soutenu pour ensuite m’assoir sur un banc .j’étais toujours sonné je voyais flou mais petit à petit je recouvris la vue et me rendit compte que mon ‘sauveur’ n’était pas d’ici. c’est un petit village donc tout le monde se connait même