Nouvelle
La petite fille avait été porté disparue le dimanche 19 décembre par ses parents alors que la famille se promenait dans le parc.
Selon les premiers examens médicaux, il semblerait que l’enfant aurait subie de multiples sévices ayant conduit à sa mort.
L’autopsie n’ayant pas encore eu lieu, les causes exactes du décès de la petite fille n’ont pas encore été déterminées. »
Après avoir lu cet article dans le Ouest France, je me posai des questions sur la nature humaine : comment quelqu’un pouvait en venir à accomplir un tel acte ?
Je me pose encore aujourd’hui cette question.
Enfin bref ; je me rendis compte que la famille de la petite fille habitait une maison près de la mienne, lorsque deux inspecteurs de police vinrent sonner à ma porte le lendemain du crime.
Ils me posèrent des questions :
- « Bonjour monsieur, nous enquêtons sur le meurtre d’Amélie Guerrin, elle habitait à côté de chez vous. Auriez-vous remarqué quelque chose d’anormal dans la nuit de dimanche à lundi ? - Bon jour messieurs, non j’ai bien peur de ne pas pouvoir vous aider, vous venez tout juste de m’apprendre cette terrible nouvelle. Euh… Dimanche j’étais chez moi, des amis sont venus à la maison et sont partis vers minuit. Et lundi j’étais au travail. - D’accord, merci monsieur. Nous aurons besoin du nom de vos amis pour confirmer votre alibi. Bonne journée et n’hésitez pas à contacter si un détail vous revient. »
Après la visite des inspecteurs, je fus envahi d’une énorme tristesse. En effet, je connaissais la petite Amélie depuis sa naissance, je l’ai vu grandir. Il s’agissait d’une enfant tout ce qu’il y a de plus adorable : blonde, de grands yeux verts, pas très grande. Cette fillette de 3 ans et demi était en effet aussi curieuse qu’intelligente. Le lendemain