Nouvelles générations
Chaque personne bénéficie de diverses formes de solidarité. Une solidarité qui s'exprime notamment entre les générations, entre ceux qui travaillent et ceux qui ne travaillent pas encore ou ceux qui ne travaillent plus. Pourtant, certains dénoncent une société dans laquelle l'individualisme règne, où les solidarités traditionnelles entre générations tendent à disparaitre.
On peut constater dans le texte de Driss Chraïbi « La civilisation, ma mère » écrit en 1972, qu’au Maroc, là où les femmes étaient entièrement dévouées à leurs maris et n’avaient pas accès à l’éducation, commencent à s’instruire et à découvrir la « civilisation » proprement dit. L’histoire d’une femme « limitée » au début de l’histoire ne connaissant à peine son corps, ne sachant pas ce qu’est une menstruation. A la fin elle remit en cause son passé pour se tourner vers son instruction à sa nouvelle vision des choses.
Comme dans toutes les sociétés, des formes de solidarité existent entre les générations qui les composent : les plus jeunes ont besoin des plus âgés, et les personnes âgées ont besoin des adultes. Une société comme la nôtre a généralisé des formes de solidarité rendues obligatoires. L'éducation en France tient aussi de la solidarité, l'éducation des enfants étant l'affaire de tous, et pas seulement celle des parents.
On peut voir d’après le document 4, qui est l’affiche du film Tanguy. L’histoire d’un « jeune » homme de 28 ans qui ne veut pas quitter le domicile familiale. Dans le film, malgré le fait qu’il ait des rapports avec de nombreuses filles et qu’il gagne bien sa vie en étant prof de chinois, il s’entête à vouloir rester chez ses parents et à se comporter en petit enfant gâté.
On peut observer que ce phénomène concerne de plus en plus de jeunes qui ont peur de se lancer « à l’aventure » dans la vie active, ils veulent rester dans le « cocon » familiale. C’est ce qu’on appeler le principe de la nouvelle génération, si