PLAN Les obsèques de la lionne Un récit plaisant Vivacité de la narration Dynamique du récit lié à la variété des temps : beaucoup de passés simples (action), retour en arrière. Nombreux verbes d’actions + discours directs Alternance des metres (hétérométries) : alexandrins octosyllabes => rompt la monotonie Plusieurs locuteurs Narrateur qui raconte l’histoire, le lion et le cerf au discours direct et le fabuliste qui s’introduit dans la digression avec le « je » Discours indirect on a le flatteur => permet d’enrichir le texte = polyphonie Un récit a rebondissement l’entrée in média res péripétie qui s’enchaine au passé simple pas de connecteurs logique => donne de la rapidité au texte coup de théâtre final : le cerf dupe le roi, le cerf est sauvé, la tristesse du début remplacé par la joie de la fin. Extrème rapidité des paroles des courtisans à la fin. Proposition de liaison : Dans un récit, les composants du récit sont les personnages, c’est à travers eux que La Fontaine met en place la cour et la critique du roi. Les personnages : personnification du roi et de son peuple La critique des courtisans L’hypocrisie : on remarque que les courtisans sont très peu évoqué comme des animaux, pas de personnalité. Comparaison entre le singe et le caméléon au (v.21) qui met en l’avant l’idée qu’ils sont des imitateurs et son évoqués comme des machines (v.22) , cela donne une impression qui n’ont aucune valeur et existence personnelle. V.18 opposition triste/gai qui sont vide de soi Répétition de « tout » qui font tout pour faire plaisir au roi sans aucune conscience Tout est fondé sur l’apparence (v.21) => être, paraitre (v.15) « à son exemple » => il copie le roi. Cette impression est renforcée par la digression personnelle de l’auteur. Montrer la gravité de cette