Olivier Schwartz (1951) est un sociologue du CERLI (centre de recherche sur les liens sociaux) qui a un intérêt particulier pour les classes populaires dans la société française contemporaine. Il publie le 22 septembre 2009 l’extrait « une conscience sociale triangulaire » tiré de son livre Vivons-nous encore dans une société de classes ? Trois remarques sur la société française contemporaine, édité sur le site laviedesidees.fr. Dans son rapport d’enquête, Olivier Schwartz s’est penché sur l’idée de triangulation de la conscience sociale, mais plus particulièrement sur la thématique que cette triangulation se fait sur les personnes les plus fragiles. Toutefois on découvre d’autres thèses, tel que, quel type de société nous voulons ? Mais aussi que la crise a un impact sur la perception des classes populaires. Ou encore le constat de l’auteur : la conscience sociale se multiplie. Dans son rapport, le sociologue recherche quelle représentation de la société y a-t-il ? Dans son postula, il reprend l’objet de « société de semblable » pour en avoir des observations. Dans cette société ou ne doit y avoir de fortes inégalités, il va faire plusieurs observation pour comprendre les difficultés à arriver à cette société voulue. L’auteur nous montre que la premier source de difficulté, c’est le désavantage sociale qui précarise les emplois. La deuxième source est, le problème du cas par cas dans les entreprises. Cette volonté de récompenser que les meilleurs du lot. Et pour finir, le troisième problème, c’est que les avantages ne vont pas qu’aux classes supérieures, mais aussi et surtout aux classes pauvres. Dans son enquête, Olivier Schwartz nous montre que « la politique de l’excellence […] de la performance, de la compétence » si elle s’installe totalement dans notre société il y aurait des conséquences considérables sur les inégalités dans une même catégorie, « intracatégorielle ». Dans un deuxième temps, l’auteur nous pose un constat des conducteurs de bus à la