On ne supprime pas une mauvaise habitude.
Une habitude s’immisce facilement dans le caractère d’une personne jusqu’à faire partie d’elle. Après avoir fumé une cigarette, elle peut avoir deux réactions : soit elle déteste soit elle y prend goût et devient dépendante. C’est parce qu’on ne fait pas attention, qu’on se dit « elle disparaîtra bien un jour » qu’elle s’immisce aussi facilement en nous. Dès qu’elle fait partie de nous, cela devient difficile de s’en débarrasser comme le dit Johann Wolfgang Von Goethe, romancier, écrivain, dramaturge, théoricien de l’art et homme d’état allemand du 18-19è siècle, : « On ne peut jamais se débarrasser de ce qui fait partie de nous même si on le rejette. » Ensuite, le problème de la persistance de l’habitude :
Le problème vient de nous. On a beau dire « je veux changer ce problème chez moi », il y a parfois une sorte de réticence au fond de nous qui nous empêche d’avancer dans ce changement. Evidemment, si on n’y met pas de la volonté, l’habitude persistera. Comme dit Aristote : « Est dû à l’habitude ce que l’on fait parce