On s'intéressera aux étiquettes électroniques (rfid) du point de vue de la couche physique : quelle technique de transmission (protocole, modulation, protection de l'information) entre l'étiquette et un terminal (
On s'intéressera également à la source d'énergie des RFID ; comment sont-elles alimentées ?
La technologie RFID est utilisée depuis les années 1940 ; en effet elle a fait son apparition lors de la seconde guerre mondiale pour permettre de reconnaître les avions à distance (IFF : Identify Friend or Foe). Le premier brevet sera déposé au Etats-Unis en 1969 par M. Cardullo qui l’utilise pour l’identification des locomotives. Pendant les années 80 la technologie RFID fait son apparition en Europe principalement pour identifier le bétail. Puis dans les années 1990 la miniaturisation du système RFID va permettre de l’intégrer dans une seule puce électronique.
A ce jour cette technologies c’est largement développée, on la retrouve par exemple dans des badges (badge transport dans les communautés urbaines/terminaux de paiement), pour la traçabilité d’objets fixes ou mobile (suivit de palettes, conteneurs, valises …). En annexe des exemples d’application sont présentés.
Un système RFID est composé de deux éléments, à savoir une base aussi appelée émetteur (ou Lecteur) et un ou une multitude de récepteurs ou étiquettes placés à des distances variant de quelques centimètres à plusieurs mètres.
I. RFID.
Les applications utilisant la technologie RFID sont multiples, nous allons a présent présenter brièvement le fonctionnement de ce système.
RFID signifie Radio Frequency Identification et en français identification par radio fréquence. En effet cette technologie peut identifier un objet et en connaître les caractéristiques via un Tag (étiquette) qui émet des ondes radio. Le Tag est donc le récepteur qui va être intégrée ou attachée a l’objet en question. RFID peut lire des étiquettes sans qu’elles soient nécessairement en ligne de vue