Opium - maxence fermin
Quand Charles a 30 ans, dans l’année 1838, il décide à s’embarquer pour la Chine. Le voyage avait la réputation d’être la plus dangereux parce que passait pour l’Inde et se perdait dans l’Empire Céleste. Après plusieurs mois sur l’océan et un arrêt intermédiaire à Colombo et à Hong Kong, Charles Stowe arrive à Shanghai. Là il a appris qu’il y a trois sortes de thé, le vert, le bleu et le blanc. Le dernier est le plus précieux dont Charles était très fasciné. A Shanghai il pouvait faire des affaires lucratives avec du thé et des épices. Le problème de Charles était que étranger n’avaient pas le permis d’entre l’Empire Céleste d’où venait les livraisons de thé. Pour cette raison il a rendu visite à Pearle, un Irlandais et le directeur du Comité du thé, seul négociant britannique à avoir le privilège de posséder un laissez-passer délivré par les autorités chinoises avec lequel il pouvait voyager à l’Empire Céleste. Avec beaucoup de difficultés Charles a réussi à faire un pacte mêlé avec Pearle de leurs deux sangs. Maintenant Pearle pouvait mettre Charles dans la confidence. Pearle lui montrait les secrets du thé.
Le lendemain les deux ont quitté Shanghai pour la région de Hwuy-Chow, située à plus de deux cents milles à l’intérieur des terres. Ils ont voyagé par le fleuve Vert. Ils demeuraient à la maison de Wang, un chinoise qui travaille pour Lu Chen, le maître de thé. Wang les montrait beaucoup sur thé. Il les laissait visiter un plantage de thé vert et il partage les deux premiers secrets du thé avec eux. « Voici le premier secret : sans l’excellence de l’eau, il n’y a pas d’excellence