Option Antique Numismatique
Cours 1 :
Etude des monnaie, une érudition moderne, le premier poète Pétrarque, qui achètes des pièces à Rome. Avant dit médaille, car apporte des éléments sur l’histoire. XVIIIème siècle : des humanistes :
Joseph Hilarius Eckhel, Doctrina numorum veterum
Joseph Pellerin, vente collection en 1776, à Louis XVI
A partir 1830-40, sociétés spécialisées et cabinets des médailles en Europe
Manuels à lire : Monnaie grecque, Yves Roman / Numismatique grecque, Hélène Nicolet-Pierre
Monnaie en bronze généralement, étude de l’histoire financière, politique et éco, mais aussi militaire, et aide pour étudier les cultes d’une cité, d’un royaume, car sur la face principale (le droit) la divinité : ex : Athéna Polias, protectrice de la cité, et de l’autre côté sur la face secondaire, un hibou, un attribut. Elis = Olympie. Retour à la mythologie du passé, mise sur la monnaie, car un document officiel et qui circule dans la cité, montrer son passé glorieux, ex : Bellérophon sur Pégase qui attaque une chimère. Aide aussi étude de l’architecture, même si représentation pas très fidèle, ex : Acropole d’Athènes, donc des information en direct, par rapport à la statue colossale. Monnaies frappés par le phare d’Alexandrie, ou encore du temple d’Artémis, monnaie grecque mais frappé sous empire romain. Corpus monétaire. Mais quand on dit monnaie on pense à une pièce, avec une face qui renvoi au pouvoir monétaire (état), c’est un document officiel, la frappe est contrôlé depuis l’antiquité. Reconnaissance de la monnaie on utilise : une face principale commune à l’ensemble des pays, carte Europe et le nom de la monnaie ici Euros. Face secondaire une image qui fait référence à l’un des pays, France choisit un arbre et épigraphe : Egalité, liberté et fraternité. Grèce : chouette, olivier et croissant de lune. Image donné à l’utilisateur comme reconnaissance, et une propagande. Pièce reconnu aussi par la taille. Monnaie fudicière, avant dans antiquité des valeurs