Oral candide
Voltaire écrit Candide à l'age de 64 ans soit en 1758. Candide est un conte philosophique de Voltaire paru à Genève en janvier 1759. Candide porte le titre complet de Candide ou l'optimisme. Cette œuvre ironique dès les premières lignes, ne laisse aucun doute sur l’origine de l’auteur, qui ne pouvait qu'être du parti des philosophes : « Les anciens domestiques soupçonnaient que [Candide] était fils de la sœur de Monsieur le Baron et d'un bon et honnête gentilhomme du voisinage, que cette demoiselle ne voulut jamais épouser parce qu'il n'avait pu prouver que soixante et onze quartiers, et que le reste de son arbre généalogique avait été perdu par l'injure du temps. » Dans cette œuvre il y a : Cunégonde, fille du baron Thunder-ten-tronckh, cousine et amoureuse de Candide.
Pangloss, professeur de métaphysico-théologo-cosmolo-nigologie, précepteur de Candide et de Cunégonde.
Paquette, femme de chambre de la baronne Thunder-ten-tronckh et bénéficiaire accessoire des « leçons de physique expérimentale » du savant Dr. Pangloss.
Cacambo, valet de Candide.
Martin, compagnon manichéen de voyage de Candide.
La vieille, bienfaitrice de Cunégonde, évocation des marraines des contes traditionnels. Fille d'un pape et d'une princesse.
Jacques l’anabaptiste, bienfaiteur hollandais de Candide au début du conte jusqu’à sa noyade après avoir sauvé un autre homme.
Vanderdendur, négociant escroc.
Pococurante, homme riche et cultivé, pourtant malheureux et blasé de la vie.
Candide est un jeune garçon vivant au château du baron de Thunder-ten-tronckh. Il a pour maître Pangloss, philosophe qui enseigne la « métaphysico-théologo-cosmolo-nigologie », et qui professait, à l'instar de Leibniz, que l'on vit dans le meilleur des mondes possibles. Cependant Candide est chassé de ce meilleur des mondes possibles à la suite d'une « Leçon de physique expérimentale » entreprise avec Cunégonde, la fille du Baron. Candide découvre alors le monde et passe de déconvenues