aujourd'hui investi la majorité des entreprises mais aussi en quoi les organisations traditionnelles sont encore présentes.
Ecrit en 2008; 1210 mots; 0 sources; 3,95 €
Résumé:
Entre 2002 et 2004, près d'un quart des entreprises marchandes françaises ont modifié leur organisation du travail, c'est à dire leur méthode de production. Mais cette volonté de changement habite les entreprises depuis les années 70 et l'apparition d'une nouvelle organisation du travail se substitue donc aux organisations traditionnelles. Ces dernières rassemblent le taylorisme et le fordisme et se basent sur la suppression du moindre geste inutile, la partiellisation des taches (appelée aussi division horizontale), la hiérarchisation poussée, qu'on nomme division verticale et enfin sur la paye à la pièce, ce qui motive l'employé à produire plus. Le fordisme y ajoutera même le convoyeur, et mettra ainsi en place le travail à la chaîne. A l'inverse, le nouveau productivisme remet en cause ces divisions en élargissant les tâches des employés en leur donnant plus de responsabilités. La mutation, le passage d'une organisation à l'autre, évoquée plus haut n'a toutefois pas été totale.

1. Une véritable mutation dans l'organisation du travail a eu lieu dans les années 70

2. Un néo-taylorisme persiste
Extrait du document:
Le premier signe d'une mutation de l'organisation du travail réside dans la remise en causes des principes fondateurs des organisations traditionnelles. La division horizontale du travail ou partiellisation, qui rendait le travail des «ouvriers spécialisés»,ceux qui effectuaient toujours la même tâche, trop monotone a été entièrement remise en question . Les tâches sont aujourd'hui élargies et enrichies ce qui entraîne un travail plus intéressant pour un employé qui voit sa motivation grandir et ses compétences se multiplier, il devient ainsi un opérateur polyvalent.
Tags: production, flexibilité, client, chronométrage, secteur, informatiser
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