Ouioui
Le sport et les médias sont donc deux moteurs essentiels à leur survie mutuelle. Le développement de l’intérêt des médias pour le sport au cours des dix dernières années a condamné les acteurs du sport à dépendre de leur image véhiculer par les différents médias. On peut donc parler d’interdépendance entre le sport et les médias.
Cette médiatisation génère des avantages mais aussi, et malheureusement, des inconvénients. Les avantages que nous avons pu faire ressortir sont par exemple le développement de nouveaux sports appelés « sport-spectacle » ( catch, snowboard freestyle…) ou l’apparition d’arbitrages vidéos, mettant le spectateur au plus près des décisions arbitrales. Cependant, cette médiatisation possède de gros inconvénients. Les inégalités de diffusion entre les sports selon l’intérêt présenté par les spectateurs, les médias voulant toucher le plus d’adhérents à leurs diffusions (football, rugby…) au détriment de sport moins populaires ( curling, skateboard…). Même si le revenu des sportifs peut être favorisé par les médias, cette médiatisation menace leur vie privée. En effet, les médias ne se centrent pas seulement sur les aires sportives mais aussi sur ce qui se passent à l’extérieur. L’affaire mettant en cause l’infidélité du plus grand golfeur de tous les temps, Tiger Woods, l’a pousser à mettre un terme à sa carrière par exemple. Nous aurions aussi pu citer la remise en cause, encore une fois, de l’infidélité du joueur de football anglais John Terry, qui lui a value de perdre le capitanat de son équipe national.
La médiatisation sportive a donc de très bons arguments tels le relais d’informations sportives mais peuvent considérablement menacer les sports non-médiatisés mais aussi les sportifs issus de sports plus médiatisés. Celle-ci est donc imparfaite même si elle s’est bien développée en cette dernière