Oumaima jabbari
A l'instant même ou on est rentrée au magasin , mon amie a indiqué un sac de "GUCCI " , et elle a dit je veux celui là . Le sac, lui a coûté aux enivrant de 1000 dollars , ensuite elle en a rajouté des chaussures " LOUIS VITANT " à 200 dollars . J'étais choquée en apprenant que mon amie n'étais encore qu'une étudiante et reçoit l' aide du ministère de l' enseignement supérieure. J'ai découverts par la suite qu'elle avait payé le sac et les chaussures par le dernier dollar qui lui restait. Une autre amie à moi , travaille comme architecte dans une entreprise prestigieuse , je l'est visitée dernièrement, et j'ai proposé de sortir dîné ensemble ... Elle n'était pas enthousiaste à mon idée et après plusieurs tentative elle m'a avoué qu'étant la fin du mois n'avait plus de sous, à cause des retraits des cartes de crédits qui ont épuisé le salaire... Mon collègue au travaille conduit une voiture luxueuse, je croyait qu'il avait d'autres revenus que son salaire, jusqu’ à quand j'ai su de sa part qu'il était prisonnier par ses traites pour cinq an . Ce qui est en commun entre ces trois histoires c'est la culture cancéreuse de la consommation qu'a imposé la vie moderne qui consiste à acheter des choses dont on a pas besoin , avec de l'argent qu'on ne détient pas ou même avec le dernier sous qu'on possédé .. une culture qui a transformé tout ce qui était accessoires et formes d'abondances à des