Oust, on ferme les cliniques !
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DESCENTE OU HARKA
D'ASSAINISSEMENT SUR LES CLINIQUES PRIVÉES:
SILENCE ON FERME !
La réforme royale de la constitution est venue apporter une halte relative à ces stigmatisations. C'est avec cet esprit d'intelligence royal, compliant, adaptatif et démocratique qu'il faut gérer la Santé dans son ensemble, hommes, locaux et obligations pour la réformer.
JE COMMENCERAIS PAR LA CONCLUSION
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Primum non nocere ! D’abord ne pas nuire est le fronton princeps de la médecine. Son fondement initial sinon initiatique. Dès lors la recherche de la santé, synonyme de vie, sa protection sont choses sacrées. Tout pouvoir doit la garantir et s’y impliquer constitutionnellement ! Et là, bien sûr l’État est en devoir d’assumer, de garantir la sécurité, l’enseignement, même sobrement, la justice, très indépendamment ainsi que la santé, sans discriminations. Veiller sur la qualité de ces prestations fait partie des obligations de tout gouvernement qui doit appliquer les textes de lois, corriger, sanctionner au besoin et fermer, en dernier recours, les boîtes des impétrants.
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LES MÉDECINS, DES BOUCS ÉMISSAIRES.
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Seulement il y a eu dérive en matière de jurisprudence et de procédures. On ne ferme pas autant de cliniques de cette façon ni aussi méchamment. On ne divulgue pas non plus les noms des fautifs au public et aux médias. Comme il est déontologique de ne pas montrer en photo les ‘’ coupables’’ jusqu’à ce que le jugement ait lieu, du moins. Et ce, par respect pour la dignité et l’innocence, afin d’éviter de commettre des erreurs judiciaires ! Un ministère quelconque ne peut pas remplacer la Justice ni s’imposer en juge, fut t-il dirigé par une avocate ! Et quand le règlement de compte atteint les 13, ça fait tsunami et ça sème la panique sociale ! Un effet de fantasia, de règlement de compte, de guerre ou de séisme, avec ses impairs et ses impacts sur la société et sur le devenir de la profession.
PRIÈRE DE LIRE AVEC