Cette histoire est pathétique. Cette légende est absurde. Cette rumeur n’en peut plus. C’est comme croire au pire. C’est une porte sans sortie. On peut crier et hurler, mais l’aide ne viendra pas. La musique. Il faut transmettre quelque chose. Les paroles sont assez grande pour passer inaperçue. J’ai envie de prendre des champignons hallucinogènes. Le mur craque de tous les bords. Quand Moi parait dans le sein obscur de l’univers. La terre et le ciel était encore grand, calme et livide. Jeune et nu, prodigieusement étrange. Tel que William l’aimait, quand il était.
Nous sommes cette production que quelques uns manipulent.
Bien quoi.
Coupez la parole. Faire comme si. Ne pas donner d’importance vraiment. Feindre à soi-même. C’est odieux. C’est malheureux, non? Un histoire. Il faut s’asseoir.
Je t’encule.
Je voudrais m’épargner de cela. De ce comportement. C’est la cause de l’envie de m’intoxiquer. Je veux ‘’oublier’’. Avoir une illumination, peut-être.
Attraper dans la toile d’araigne. En attendant, en espérant un secours.
Je pense aux Aliens… C’est vraiment intrigant de croire à l’inconnu.
Ce chaperon rouge n’est plus commode. La chanson qui me donne des millions de frissons commence à être redondante.
Out of no where.
Hypocrite.
Le temps. Asti. Un présent si rapide. Une vague impression que c’est déjà arrivé. Ces gens, qui parfois prennent le temps de faire du sens. Prendre le tant d’aimer, même si elle ne dure pas longtemps, de fois. En fait, c’est quoi cette drôle de chose appelé Amour. Je devrais faire une dupe de moi. L’ignorance, ne rien dire, siffler quand une personne te parle. Se dire ‘’ esti je n’ai pas envie de lui parler’’. Ou ‘’ C’est complètement dingue’’.
Here am I helplessly waiting hoping and loving Oh how I am. Where are you. Will you remember will you return? Je veillerai sur la falaise, sur l’océan pour celui que j’aime.
Un blues. De la tonalité partout. C’est amazing.
Des questions dont tu ne veux le moindre répondre.