1) La relation Père/Fils
( Le rôle du père : -faire partager son expérience « à l’âge où je suis » l.14 Donne une image nouvelle de l’étude : « maintenant » l.1 montre une opposition avec le passé
+ montre à son fils qu’étudier est un plaisir « je me délecte » l. 16 -Donne des conseils : impératifs et injonctifs «j’entends et je veux » l. 24, subjonctif à valeur de souhait « qu’il n’y ait » l. 38, « que rien ne te soit inconnu » l. 41
( appel au sérieux mais il y a quand même tendresse d’un père pour son fils : - apostrophe « mon fils » l. 20, signature « ton père » l.47 - bienveillance depuis longtemps « je t’en ai donné le goût quand tu étais tout jeune, cinq ou six ans » l. 31-32
Montre soucis d’une bonne éducation pour progresser dans la vie.

Transition : on a l’image d’un bon père qui veut que son fils réussisse et pour cela il préconise une éducation Humaniste.

|2) L’éducation Humaniste
( confiance dans capacité d’apprentissage : - pour lui : se remet à étudier à son âge - pour son fils : précepteur l. 21 - ensemble de la société : accumulation « les femmes, les filles » l.13, les brigands, les bourreaux, les mercenaires … » l.11, « le monde entier » l.6. + mise en place de ce qui est nécessaire pour cela « gens savants, précepteurs tres doctes, bibliothèques très importantes » l.6
( boulimies de savoirs : - aucun domaine de savoirs n’est écarté : accumulation l.2-3 tous les écrivains antiques.
Référence à l’encyclopédie, l.29 montre l’accumulation de savoirs. - harmonie et équilibre : littérature grecque et latine + savoirs scientifiques l.28, savoirs théoriques (l. 35, 42-44) + savoirs pratiques (l.22-23, 37-41, 43) - appel à la rigueur : rejet de l’astrologie et de l’alchimie (l.32-33)