Par quels moyen les textes litteraires peuvent-ils se réveler particulierement puissant pour défendre une cause?
Les organes électriques permettent à certains poissons électriques de produire une décharge électrique de forte intensité. Ces organes électriques sont composés de cellules électriques aussi appelées « électroplaques » ou encore « électrocytes ».
Les électrocytes sont des cellules musculaires modifiées, et de terminaisons de neurone électromoteur. l'acétylcholine qui va activer des récepteurs à la surface de la membrane des électrocytes au niveau de la plaque motrice est libérée lorsqu’un influx nerveux arrive au niveau des terminaisons cholinergiques (neurone électromoteur). Ceci provoque une dépolarisation qui conduit à l'initiation d'un potentiel d'action. 2) Comment se fait-il que le poisson électrique ne s’électrocute pas lui-même?
Les organes électriques dans les flancs de la queue déchargent directement dans l’eau via des pores à la surface de la peau. Comme l’eau des rivières est un meilleur conducteur que les organes internes, les charges électriques voyagent préférentiellement dans l’eau. D’autre part, la décharge est très rapide (c’est une rafale de deux ou trois pics intenses durant au total moins d’une dizaine de millisecondes) et les organes vitaux situés dans la tête, sont assez loin pour être peu affectés. D’ailleurs, une bonne couche de tissu graisseux recouvre les organes vitaux ce qui les isole encore plus. Finalement, leur grosseur permet d’avoir une résistance plus élevée que leurs proies plus petites placées à proximité. Ainsi, il y a plus de courant qui traverse l’infortunée proie que le gros prédateur.
D’autres caractéristiques anatomiques pourraient contribuer à leur protection face à leur propre choc. Par exemple, la peau visqueuse a une grande résistance et protège des chocs électriques. L’absence d’écaille pourrait diminuer le passage du courant électrique. Un mucus huileux sécrété par la peau pourrait aussi augmenter la résistance de la peau. La position de l’anus