Paragraphe 2 p.4 le rouge et le noir
Dans ce deuxième paragraphe, le personnage principal Julien Saurel s'épanche et profite de cette nature bienveillante ce qui lui permet de contempler la nature dans toute sa splendeur. Les nombreux adjectifs comme ''étroit » et « grand » personnifient la nature qui devient presque divine.
Cette même nature, procure des sensations au narrateur, lui communique la sérénité et même la joie. De plus l’opposition des adjectifs « étroit » et « immense » montre la diversité et le contraste dans cette forêt.
Le mot "roche" est employé plusieurs fois ce qui montre que le terrain est très rocheux, Julien monte sur un sommet. Le paysage est grandiose mais renforce la solitude et l'absence de vie humaine. Le silence est omniprésent et donne au paysage, une atmosphère très sombre et mystérieuse.
Il emprunte un chemin que seuls les gardiens de chèvres utilisent c'est à dire que peut de personnes hormis les éleveurs de chèvres qui sont rares, l'empreinte ; ceci renforce la solitude et l'absence d'humain, il est sûr d’être séparé de tous les hommes.
Il parle alors qu'il est seul ce qui montre qu'il se sent un peu abandonné, signe de mégalomanie : L.15-17 « Quoi ! plus de cinquante écus par an! un instant auparavant je m’étais tiré du plus grand danger. Voilà deux victoires en un jour; la seconde est sans mérite, il faudrait en deviner le comment. Mais à demain les pénibles recherches », il profite de cette solitude pour « se connecter » à la nature et l'altitude révèle la recherche du refuge, le retrait d'un monde dont les bassesses et les contingences, perdent, vues de haut leur caractère menaçant.
Le champ lexical de ce paragraphe est celui de la grandeur : grande roches, roc immense, montagnes élevées, plus grand