Paragraphe "les caractères" de jean de la bruyère
Le second texte, lui, raconte l’histoire d’un homme : Iphis. C’est un long portrait ponctué de virgule, de point-virgule et de deux points mais aucune fin de phrase n’est observée dans ce récit hors mis à sa toute fin. Les propositions énoncées dans le texte sont juxtaposées et l’on peut observer que plusieurs mots, verbes et gestes désignant le personnage nous montre à quel point il est narcissique et imbus de sa personne comme nous l’observons dans la phrase (L10/11) « […] Il parle gras […] et je ne sais quelle adoucissement dans les yeux, dont il n’oublie pas de s’embellir… » . L’auteur prend également soin de nous décrire toutes les parties du corps d’Iphis se qui accentue l’évident goût, très prononcé, pour la mode du personnage comme cité dans cette phrase (L13/14) « […] qu’il porte des chausses et un chapeau… ». Enfin, l’auteur finit sur une critique ironique du protagoniste en expliquant ceci (L14/15/16) « […] et qu’il n’a ni boucles d’oreilles, ni collier de perles ; aussi ne l’ai-je pas mis dans le chapitre des femmes. ».
Pour finir, le dernier texte est une satire clairement définit qui dénonce au grand jour l’abus