Parents responsable de leur enfants?
Depuis la fin des années quatre-vingt, la tendance est également à considérer que des pères et des mères « plus responsables » seraient une partie de la réponse aux problèmes de la délinquance juvénile et des incivilités. Ces problèmes sont en effet de plus en plus souvent associés à un défaut d’éducation, de direction ou de surveillance des parents, plus communément appelé dans le débat public « défaillance » ou « démission » parentale. Cette hypothèse est renforcée par Depuis la fin des années quatre-vingt, la tendance est également à considérer que des pères et des mères « plus responsables » seraient une partie de la réponse aux problèmes de la délinquance juvénile et des incivilités. Ces problèmes sont en effet de plus en plus souvent associés à un défaut d’éducation, de direction ou de surveillance des parents, plus communément appelé dans le débat public « défaillance » ou « démission » parentale. Cette hypothèse est renforcée par le constat (partagé ou contesté) d’une multiplication des incivilités, d’une croissance du nombre de mineurs impliqués dans les crimes et délits, d’une plus grande précocité de ces mineurs et de l’aggravation de la nature des infractions commisesDepuis la fin des années quatre-vingt, la tendance est également à considérer que des pères et des mères « plus responsables » seraient une partie de la réponse aux problèmes de la délinquance juvénile et des incivilités. Ces problèmes sont en effet de plus en plus souvent associés à un défaut d’éducation, de direction ou de surveillance des parents, plus communément appelé dans le débat public « défaillance » ou «