Résumé de chapitres Pars vite et reviens tard
Joss Le Guern est un ancien marin breton. À la suite du naufrage de son navire, il agresse son armateur et manque de peu de le tuer. Il écope pour ce geste de deux années d’emprisonnement à la suite desquelles il part s’installer à Paris. C’est là que son arrière-grand-père lui apparait lors d’une soirée trop arrosée et lui suggère de reprendre la profession familiale de crieur public. Le crieur était autrefois chargé d’annoncer les nouvelles et les annonces postées par les habitants de villages reculés.
Joss décide donc de reprendre l’activité familiale et met à disposition des Parisiens une boite dans laquelle ils peuvent poster leurs annonces et leurs billets d’humeur. La criée de Joss a lieu trois fois par jour sur une place parisienne. Depuis environ trois semaines, Joss reçoit d’étranges messages écrits en ancien français et annonçant le retour d’un terrible fléau.
Chapitres 4 à 13
Pendant ce temps, le commissaire Jean-Baptiste Adamsberg est muté à Paris à la brigade des homicides. Il reçoit une jeune mère de famille venue porter plainte car elle a découvert d’étranges inscriptions sur les portes des locataires de son immeuble : le chiffre quatre retourné et tracé à l’encre noire. Ces étranges symboles se multiplient dans les immeubles parisiens alors que Joss Le Guern reçoit de son côté des messages en latin. L’ami de ce dernier, Decambrais, un ex-taulard surnommé « le lettré », identifie les messages comme étant des extraits de manuscrits décrivant différentes épidémies de peste. Decambrais et Le Guern décident alors de prévenir la police et se rendent chez le commissaire. Celui-ci établit un lien entre ces messages étranges et les quatre tagués en ville.
En consultant un médiéviste, le commissaire découvre que le quatre retourné évoque en réalité un signe de croix tracé sans lever la main et censé éloigner la peste des maisons sur lesquelles il est tracé. La curiosité d’Adamsberg le pousse à assister aux criées de Joss afin de suivre