1. Pourquoi la faiblesse de la participation des citoyens à la vie politique est-elle un constat général et universel?

Pour répondre à cette question, nous allons d’abord définir le concept de la participation des citoyens à la vie politique. Ensuite, nous expliquerons comment la mesurer pour constater si sa faiblesse est générale et universelle.
La participation des citoyens à la vie politique peut être définie comme une ou plusieurs actions prisent pour s’engager dans le processus politique. Elle peut être de base comme aller voter ou complexe comme participer à une réunion sur des enjeux municipaux. De plus, pour la mesurer on peut utiliser le taux de participation aux élections qui reflète le nombre de citoyens qui ont voté parmi ceux qui sont admissibles.
Selon le groupe d’étude Samara Canada : « 80 % des Canadiens votaient aux élections fédérales il y a 50 ans. Aujourd’hui, le taux de vote aux scrutins fédéraux est d’environ 60 %, et il est souvent beaucoup plus bas encore aux paliers provincial et municipal (groupe Samara 2013). » Aussi, selon l’International Institute for Democracy and Electoral Assistance, le taux de participation aux élections à travers le monde a augmenté constamment de 1945-1990. Par contre, il a diminué depuis (International Institute for Democracy and Electoral Assistance, 2012). Par conséquent, on observe depuis plusieurs années une faiblesse de la participation des citoyens à la vie politique.
Pour ses raisons, si l’on mesure la participation des citoyens à la vie politique par le taux de participation aux élections, on peut affirmer que la faiblesse de la participation des citoyens à la vie politique est un constat général et universel.

2. En vous basant sur le programme électoral des quatre principaux partis (PQ ou parti québécois, PLQ ou parti libéral du Québec, CAQ ou Coalition avenir Québec et QS ou Québec solidaire) en compétition durant la campagne électorale en cours au Québec, identifiez l’idéologie