Partie rédigée pour un tpe de première l - le travail des femmes sous l'ere victorienne
La condition des femmes sous la société Victorienne était déjà l'illustration du paradoxe d'une société partagée entre une puissance, expansion industrielle réelle et l'extrême pauvreté de la majorité de la population ainsi que la rigidité de certains aspects de la socité.
Le statut du travail des femmes sous la société Victorienne se devait donc lui aussi d'être un paradoxe. Au cours du XIXème siècle le travail des femmes fut considéré de manières très différentes selon les décennies et connu des bouleversements radicaux qui posèrent les bases de l'évolution qu'il connut au siècle dernier.
Au début de l'ère Victorienne, les filles de classes moyennes et aisées sont essentiellement destinées à devenir les meilleures épouses possibles et sont éduquées uniquement dans le but d'être capable d'accomplir des accomplishments sensés prouver la valeur de la « maison » tels que la broderie, le chant, la dentelle, le dessin, la danse... Jane Austen s'applique à présenter dans Orgeuil et Préjugés les accomplishments les plus souhaitables pour une femme de bonne société lors d'une discussion animée entre Mr Darcy et les frères et soeurs Bingley. Dans ses œuvres, l'auteur fera aussi régulièrement apparaître l'importance cruciale de ces activités dans la société Victorienne où la plupart des artistes et chanteuses auront été des femmes, l'unique portrait de Jane Austen ayant notamment été dessiné par sa sœur. L'éducation toute entière de la jeune fille des classes moyennes, très représentées à l'époque, sera donc longtemps orienté uniquement vers le dessein d'en faire une femme modèle capable de faire honneur à son ménage et l'accès à tout autre forme de travail, hormis celui d'écrivain en de très rare occasions, était tout simplement proscrit. (Et les rares femmes écrivains eurent de prime un statut et une réputation peu enviable au sein de la bonne société)
Le plus vieux métier du monde fut le premier a être l'objet