J’ai établi la problèmatique suivante: Pascal avait l’air de décrire l’homme comme mauvais d’après ce qu’il disait ( je vous passe les exemples ), et en introduction, j’ai dis que Rousseau disait que l’homme était naturellement bon, et que de ce fait, comment cet homme « bon » pouvait devenir si mauvais comme le disait Pascal. J’en ai donc déduit:

Est-ce la société dans laquelle se trouve l’homme qui justement la conditionne au mensonge ? Et éloigne-t-elle des valeurs véritables ( référence à la vérité )?
- J’ai réagis au sujet de sa phrase: Chaque degré de bonne fortune pour évoluer dans ce monde nous éloigne de la vérité. J’ai donc dis que justement pour évoluer dans ce monde: il fallait adhérer à ces principes ceux de la société pour par exemple monter du statut social. Et qu’au final, nous finirons aveuglés par ces nouveaux principes en oubliant les notions comme la vérité, désirant comme tout humain, d’exister dans cette société qui à n’aller plus que dans son sens et prêt à être hypocrite. Après j’ai justifié tout ça avec ces exemples.

Et donc après j’ai fait une deuxième partie: Avec l’exemple du prince, qu’on allait toujours dans notre sens mais que si jamais ça mettait sa vie en jeu ou autre, on abandonné: J’ai donné un exemple avec « Un habitant qui irait se révolter envers le prince » => Il serait logiquement tuer/punis et donc « haïe et cette vérité que l’habitant dira au Prince sera désavantageuse pour lui. Mais que le Prince entendrait au moins la vérité qui se dit derrière-lui.

Et pour la dernière:

L’homme est-il naturellement voué au mensonge ? ( renvoie à la fin du texte ( dernier paragraphe )
Donc là, on voit que l’homme a des gênes, c’est chez lui, c’est naturel mais pas aussi accentué en gros. Et donc j’ai conclus que c’était la société qui rendait les gens telles qu’ils étaient. Et ça s’imbrique avec la fin de la citation de Rousseau » L’homme naît bon, mais devient mauvais pervertis par la société