Je t'ai rencontre dans les nuits froides, quand les fenêtres des maisons se glacaient et quand mon coeur se morfondait. Mon coeur sombrait dans la solitude. Ceans je te raconterai mon passe, comment ta présence avait donné a ma vie un sens. J'étais a me voir une calme personne, aimant écouter les mélodies qu'offre le piano de Yanni et de Beethoven, ambitieuse cherchant la réussite, mais n'y trouvant aucun plaisir. Je vivais l'air indifférent, souriant lorsqu'il me fallait rire au monde, faisant preuve d'une gentillesse que la nature m'a offerte, et vivant dans le bruit silencieux de mots tapes sur le clavier de mon ami, qui m'ecoute sans répondre, qui parle sans prononcer. J'avais des sentiments, j'en ai toujours sauf que celles ci sont nouvelles, fortes, et joyeuses. Tout ce qui rodait dans mon esprit traînait dans le coin de mes problèmes. Je vivais dans une sphère autour de laquelle gravite l'amour, l'admiration et l'envie. Je n'étais pas malheureux dans ma petite boule, mais je n'étais point satisfait. J'ignore encore comment j'ai pu être un si grand amoureux, d'ou surgissent mes mots et comment dans les phrases qu'elles composent font la beauté du discours. Parfois je suis surpris par mes propres propos. Tu m'as ouvert sur un monde de beauté et de jouissance hors pair, un monde dont j'ai cru avoir perce l'intimité mais qu'avec toi si près de mon coeur m'a révélé encore plus de surprises, encore plus de dimensions. Chérie je t'aime comme adore le crépuscule de l'hiver charmer l'autre bout du monde par sa couleur, et l'autre bout de l'univers par sa grandeur. Tu es ma Chérie, ma dulcinee, la femme que j'aime, avec qui je voudrais vivre, avec qui je voudrais rire et pleurer, tu es ma princesse, ma reine, mon coeur, ma destinée, mon bonheur, mon rêve, mon Paradis, ma jouissance, ma confidente, ma femme, mon sourire et ma vie. Tu es l'air que je respire, l'idée que je pense, la beauté que je contemple, la personne qui m'eblouit. Tu es ma bien aimée, ma famille, mon