Driiing driiiiing * Hmmm, coquin ca sonne à la porte ! * Sors donc ton gros cul de cette couette et va ouvrir * Pourquoi c’est moi qui bougerait toujours ? * Parce que tu es la femme, et tu m’obeis, ou bien on ne part pas en vacances Colette. * Hmmm, il faut toujours que tu me prennes par les sentiments. * Ja !!

* Ouiii ? * Oh euh, bonjour ! Vous avez un courrier à signer ! * Je vais chercher un stylo, attendez moi donc içi * Nom d’une pipe ! C’est bien la voix d’une femme, j’ai bien entendu ! Il faut que je me dépeche pour acquérir son numéro !

J’enfila rapidement mon bermuda avec une chemise hawaienne, dans le but de ma séduire. Pour finir, je dévala les escaliers a toute vitesse pour prendre son numéro avant que Colette débarque.

* Ohhhhhhhhhhh ! Ce n’est pas croyable ! * Quoi donc ? euh… * Vous ! * Comment ca moi ? * Lorsque j’étais en haut j’ai cru entendre la voix d’une femme, c’est la première fois que mes oreilles me trompent.

Je n’avais jamais vu un laidron pareil. Colette aurait pu faire miss France à côté d’elle, c’est vous dire l’étendu de sa mocheté. Elle avait la maigreur du voisin (die Mounière), On ne pouvait même pas parlé de seins tellement qu’elle était plate. Un visage horrible ! On aurait cru un rat ! Avec un corps de planche à pain ! Nom d’une pipe, je m’étais bien fait avoir !

* Oh euh mais pourtant euh… Je… * Hmm, j’ai enfin trouvé ce sacré stylo. Alfred, qu’est-ce que tu fais là ? * Colette, je m’assurais que cette chose ne rentre pas dans notre maison * Oh euh… un peu de politesse je vous prie. Je suis une personne tout comme vous * Ich glaube nicht comme moi ! Humain bin ich, rat bin ich nicht ! * Coquin, ne sois pas donc méchant avec cette femme. * Mais Colette, tu as vu sa gueule ? * Oui, oui je l’ai vu. Mais tout le monde ne peut pas etre parfait. * C’est clair Colette, elle est loin d’être parfaite.