Au XX eme siècle, le theatre s’est lancé dans un nouveau monde avec l’absurde. Cela se caractérise par l’antiréalisme, et la liberté qu’accorde l’auteur sans se limiter avec le non-respect des règles du théâtre classique tel que la règle des trois unités. En effet, Samuel beckett est un grand auteur irlandais qui fait partie du mouvement dramatique, il ne cherche pas à donner une illusion aux lecteurs, ni aux spectateurs, mais plutôt de leurs faire agir et de leurs donner une vrai image du drâme . Vers les années 1961 , samuel créa la pièce Happy Days, là ou il partage la question essentielle de l’avenir humaine. Pour cela beckett crèe une scène de deux personnages sombrant dans une folie, solitude, ennuie, et surtout dans un état d’enfermement psychologique dont winnie, une femme à moitié enterré au milieu d’une « étendue d’herbe d’enfant au niveau de son mamelon ». La scène est donc constitué que d’un monologue de winnie là ou l’auteur traite, montre habilement l’état de l’être humain. De quelle manière l’auteur montre-t-il à travers ce monologue la dégradation de l’homme vers le néant ? Afin de répondre à ce prob. On va étudier en premier l’originalité de ce monologue, ensuite en deux, on montrera la misère et la solitude piteuse de l’homme incapable d’être, et agir. Enfin nous verrons dans cet extrait l’importance du temps.

Le monologue de beckett paraît unique en son genre par son ariginalité : il introduit la situation initiale de la pièce avec « un beau jour », mais il montre egalement une dualité entre un théatre moderne et traditionnel . Au fait la pièce débute avec winnie , perdu sous un soleil ardent dans une maison avec un mari fragile et peu loquace willie. Son enthousiasme est perçu dès la première réplique : »Oh le beau jour ». Pourtant on a un champ lexical de la solitude avec : « d’être seul », « sans âme », « désert », « m’abondonnant »… ce qui montre que willie est à la fois heureuse tout en étant seul, sombrante dans la solitude,