pates
Au xvie siècle, les pâtés les plus à la mode sont de bécasse au bec doré, de chapon, de langues de bœuf, de pieds de bœuf, de pieds de mouton, de poulets, de sarcelles, et de venaison1.
Littérature et cinéma[modifier | modifier le code]
Le pâté est relativement peu présent dans la littérature française. Ce mets a principalement connu son heure de gloire pendant le Moyen Âge1. On peut citer, entre autres :
1. Pâté d'anguille, de Jean de la Fontaine, écrit en 1674.
2. Le Pâté et la Tarte (titre original : La farce nouvelle du pasté et de la tarte), farce écrite vers la fin du Moyen Âge (XVe siècle) par un auteur inconnu.
3. Dans Pantagruel de Rabelais, le laquais bedonnant Pierre Chesnoy s'adressant à son maître Pantagruel : "Moy, point ne sui faschié avec icelui pasté" ("Moi, je ne suis pas fâché avec le pâté").
4. Dans Les Visiteurs en Amérique (distribué aux États-Unis sous le titre Just